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- Quand Fringe plagie Kad&Olivier… (ou presque)
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7è épisode de Fringe. Un agent du FBI se retrouve entre le vie et la mort suite à l’implantation autour de son coeur d’un
parasite aussi dérangeant pour lui que réjouissant pour le spectateur. Le seul homme à connaître le moyen de le sauver est un prisonnier d’un quartier de haute sécurité en Allemagne. Il ne
parlera que si la fine équipe paranormalo-comique de la série lui permet de communiquer avec un ancien complice, lequel vient malheureusement d’être tué par une équipe d’assaut du FBI. Qu’à cela
ne tienne : nos héros reprennent à leur compte la technique du synthétiseur vocal, mise à jour par Pef dans l’innénarrable Un ticket pour l’espace écrit et interprété par
Kad&Olivier, pour tromper la méfiance du criminel. Bien sûr, Etats-Unis oblige, les moyens employés ne sont pas du même standing. Le synthétiseur des années 80 sur les touches duquel sont
enregistrées des bribes d’un message de répondeur du mort à faire parler, trop old school, est remplacé séance tenante par l’inoubliable système de transmission de pensée développé par le génial savant fou Walter Bishop – dans une version moins séduisante,
les électrochocs ayant pris la place du LSD.
premiers épisodes. Ce qui n’est pas entièrement la faute des créateurs du show : la Fox a prolongé celui-ci pour une première saison de… 22 épisodes. Une durée difficile à tenir pour une série
dramatique au long cours, et qui a d’ailleurs pas mal compliqué les affaires de Lost au cours de
ses 2 premières saisons. Pour Fringe, JJ Abrams semble avoir choisi de réutiliser la même méthode que pour sa série précédente : assurer le maximum de spectacle possible à
chaque épisode, tout en distillant les informations importantes au compte-goutte – rôle dévolu en particulier aux très efficaces cliffhangers qui concluent pour l’instant chaque
épisode.