- Il était une fois la révolution, de Sergio Leone (Italie, 1971)
- Ces messieurs dames, de Pietro Germi (Italie, 1966)
- La dernière maison sur la gauche : de Bergman aux réactionnaires américains
- Los olvidados, de Luis Buñuel (Mexique, 1951)
- Viridiana, de Luis Buñuel (Espagne, 1961)
- Suspiria, de Dario Argento (Italie, 1977)
- Ivan le Terrible, de Sergueï Eisenstein (Russie, 1944-1945)
- Le cuirassé Potemkine, de Sergueï Eisenstein (URSS, 1925)
- La dolce vita, de Federico Fellini (Italie, 1960)
- Le feu et la glace : Django et Le grand silence, 2 westerns-spaghettis de Sergio Corbucci (Italie, 1966 et 1968)
- Cycle Palmes d’or : Le troisième homme, de Carol Reed (Angleterre, 1948)
- Le classique du jour : Lola Montès, de Max Ophüls (France-Allemagne, 1955)
- Cria cuervos, de Carlos Saura (Espagne, 1976)
- Barry Lyndon, de Stanley Kubrick (Angleterre, 1975)
- Profession : reporter, de Michelangelo Antonioni (Italie – Angleterre, 1972)
- Ingmar Bergman jeune : Jeux d’été et Monika (Suède, 1951-1953)
- Hommage à Ingmar Bergman n°1 : Scènes de la vie conjugale (Suède, 1973)
- Ordet, de Carl Theodor Dreyer (Danemark, 1955)
- The offence, de Sidney Lumet (Angleterre, 1972)
- De l’art de faire des films courts : Ghost in the shell 2 (Japon, 2004) ; Les chasses du conte Zaroff (USA, 1932) ; Rome, ville ouverte (Italie, 1944)
- Les influences de Star Wars : Les vikings (de Richard Fleischer, 1958) / La forteresse cachée (d’Akira Kurosawa, 1958)
- Nuages d’été, de Mikio Naruse (Japon, 1958)
- La fin manquée d’Orange mécanique (Stanley Kubrick, Angleterre, 1972)
- Saraband, de Ingmar Bergman (Suède, 2004)